6 mai 2019

 

L'écologie politique, entre emballement et hystérie

par Benjamin Damien

 


On ne peut être qu’interpellé en observant les diverses et multiples manifestations "pour le climat" de ces dernières semaines, et notamment les manifestations d'étudiants en Belgique.

Il est bien entendu positif de voir les citoyens, et notamment les plus jeunes se démener pour "faire changer les choses".

Néanmoins, l'emballement (je dirais presque « hystérie ») tant populaire que politico-médiatique de m'inquiète, tant il est orienté, unidirectionnel, et probablement « encouragé » par des ONG et partis politiques intéressés...

Les calicots des étudiants mélangent, dans une grande confusion, climat, pollution, plastique et « justice sociale », avec souvent une copie parfaite des slogans utilisés par des mouvements écologistes radicaux et les partis d’extrême gauche, et qui sont des exagérations dépassant largement la caricature (« fin du monde », « la planète va bouillir », « Les villes vont être submergées », etc). On a même pu voir des élèves d'écoles primaires brandir des pancartes en anglais probablement fournis par les « coaches climat » qui viennent répandre la bonne parole dès le plus jeune âge.

Nul n’aura relevé que les entités à l’origine de ces manifestations sont des organisations activistes (La « coalition climat » en Belgique est composée des habituelles organisations syndicales associées à une série d’ONG catastrophistes), ou que les « meneurs » étudiants sont des enfants d’élus écologistes (avec, selon leurs activités sur les réseaux sociaux, une prédilection pour les fréquentes vacances en avion dans des destinations exitiques).  Même la Jeune Greta Thunberg, activiste atteinte du syndrome d’Asperger, a été « formée » par une startup suédoise nommée « We don’t have time » et est un pur « produit marketing » de l’écologisme (Quelques remarques sur Greta Thunberg et extinction rebellion, par Nicolas Casaux).
 

 

 


Les Ecologistes sont devenus maîtres des rideaux de fumée, et se cachent derrière une réalité prétendument « scientifique », ce qui voudrait leur donner un ascendant moral sur tout contradicteur, forcément mal informé ou mal intentionné, mais le débat climatique n’est plus scientifique depuis longtemps. Le rapport du GIEC est lui-même un rapport politique, dont le contenu est longuement débattu, à huis clos, entre gouvernements et ONGs (La primauté du politique sur le scientifique. Belgotopia, 22 janvier 2019). Même l’affirmation sans cesse brandie que « 97% des scientifiques soutiennent l’influence de l’homme dans le réchauffement » est largement sujette à caution, car issue d’un article très controversé de John Cook en 2013, sociologue et « communicateur du climat » (et pas du tout climatologue), bloggeur du site alarmiste « Skeptical science » et proche de la sulfureuse Naomi Oreskes (97% Consequential Misperceptions: Ethics of Consensus on Global Warming). Une autre étude (Climate Science Survey, Questions and Responses) indiquait plutôt 43% de climatologues persuadés que l’homme avait une influence notable sur le climat, avec une méthodologie bien plus robuste (et idéologiquement neutre).

Néanmoins, le débat a quasiment quitté la place publique, tant les médias ont fermé la porte à toute opinion levant le moindre doute sur l’influence humaine du réchauffement. Le physicien du MIT Richard Lindzen va encore plus loin, en dénonçant les pressions et intimidations dont les « sceptiques » font l’objet, y compris la suppression de leur crédits de recherche (Climate of Fear: Global Warming Alarmists Intimidate Dissenting Scientists into Silence).

Le débat reste ouvert

Heureusement, dans le monde académique, le débat scientifique sur l’origine du réchauffement (Naturel et/ou d’origine anthropique) fait, lui, encore rage avec des articles de bon niveau alimentant les deux camps, pas sur l’existence du réchauffement (le climat se réchauffe lentement et constamment depuis la sortie du dernier âge glaciaire, il y a 10.000 ans) mais sur le fait que le CO² (et en particulier les 4% de CO² d’origine humaine) puisse avoir une influence significative sur celui-ci. Le CO² n’est d’ailleurs pas le principal gaz à effet de serre dans notre atmosphère (c’est la vapeur d’eau pour plus de 90%) et de nombreux physiciens mettent en doute la capacité du CO² à créer un « effet de serre » à si faible concentration (Un peu de chimie-physique pour comprendre l'influence du CO²).

L’essentiel des prédictions sur le climat sont basées sur des modèles mathématiques, eux-mêmes alimentés par la même base de données HadCRUT4, compilé par le « Climatic Research Unit » de l’Université de East-Anglia (département rendu tristement célèbre par les allégations de fraudes lors du « climategate »). Ces données, issues de stations terrestres, sont controversées de par la sur-représentation de stations terrestres localisées en bord d’agglomérations (Quantifying the effect of urbanization on U.S. Historical Climatology Network temperature records), ainsi que par des accusations répétées de « correction » des données (Audit of the HadCRUT4 Global Temperature Dataset). D’autres séries de données, comme les données UAH ou RSS issues des enregistrements de satellites météo indiquent un réchauffement quasi insignifiant ces 20 dernières années, mais ne sont pas utilisés par les modèles climatiques les plus alarmistes.

Le résultat est sans appel : une étude rétrospective des prédictions des modèles entre 1993 et 2013, publiée dans « Nature », indiquent que les modèles surévaluent le réchauffement dans 99% des cas (114 prédictions fausses sur 117) (Overestimated global warming over the past 20 years). Par contre, une étude récente utilisant des données indépendantes indique que le réchauffement observé est totalement explicable par des facteurs naturels (The application of machine learning for evaluating anthropogenic versus natural climate change) et que même avec les données HadCRUT4, la limite arbitraire des 1,5°C d’augmentation par rapport à l’ère préindustrielle ne sera pas dépassée (Emission budgets and pathways consistent with limiting warming to 1.5°C).

On est donc loin de la fin du monde agitée en permanence par les alarmistes.   Néanmoins, les résultats réels ne semblent en fait ne plus avoir d’importance car, que la température soit élevée ou basse, qu'il pleuve plus ou moins, qu'il neige ou pas, qu'il y ait plus ou moins d'ouragans, il y a toujours un « expert » pour dire qu'il l'avait prévu, et que n'est bien une preuve de l'existence du "réchauffement d'origine anthropique". Quoique quand on prédit tout et son contraire, il est normal qu'on tombe juste de temps en temps.

Pourtant, même les tentant de l’accord de Paris admettent que si tous les signataires (donc aussi les USA) remplissaient 100% de leurs engagements (on en est très loin), la différence ne serait que de maximum 0,2°c par rapport au « statu quo » (Paris climate promises will reduce temperatures by just 0.05°C in 2100), ce qui renforce l’hypothèse d’un effet très faible des émissions humaines. Bref, des efforts de centaines de milliards d’Euros, pour un résultant insignifiant.

Une position de « rebelle » bien commode…mais incohérente

On peut également s’étonner de la position réactionnaire des partis écologistes, toujours opposé au progrès technologique, qu’il soit dans l’industrie, les transports, l’agro-alimentaire ou les télécommunications. Les plus radicaux allant même jusqu’à s’opposer à la vaccination (Voir le « pétage de plombs » de JM Javaux sur twitter ce week-end), tant l’opposition à tout ce qui n’est pas « naturel » est ancrée dans la mythologie fondatrice de ces partis.

On ne peut d’ailleurs que relever les incohérences multiples du mouvement écologiste : Qui voulait lutter contre la pollution en favorisant le diesel, qui veut promouvoir le « biocarburant » polluant et qui appauvrit les populations des pays du sud, qui veut décarboner l'énergie en interdisant le nucléaire en faveur d'énergies éoliennes et solaires qui peinent à fournir quelques % de nos besoins de manière irrégulière (ou du charbon, comme en Allemagne), qui veut favoriser les voitures électriques sans savoir comment les recharger,  qui veut mettre en avant une agriculture "bio" qui favorise la déforestation, la surconsommation d'eau et de carburant pour aucun avantage réel (le "bio" utilisant aussi des pesticides).

Chaque action a des conséquences, et le mouvement écologiste se pare d’une pensée magique qui le prive de devoir y faire face.

Pourtant 14 milliards d'euros de subsides ont déjà été engloutis rien qu’en Belgique par le seul soutien aux Panneaux Photovoltaïques, pour moins de 0.5% de la production électrique, dans un pays avec peu de soleil, fournis essentiellement quand on n’en a pas besoin (pic de production entre 12 et 14 h, qui est une heure creuse, avec surproduction électrique).

L’énergie éolienne (encore plus subsidiée) produit certes plus (4% de la production, en moyenne) mais avec une production beaucoup plus irrégulière, discontinue et imprévisible (dont une partie de nuit) qui réduit très peu le recours aux énergies fossile car le temps de réaction (le « temps de conduite ») des centrales au gaz ne permet pas de suivre des variations rapides de production éolienne, et ces centrales restent donc à régime de croisière. Des études indépendantes (Quand les éoliennes augmentent les émissions de CO²) montrent même que les éoliennes augmentent la consommation d’énergie fossile car les variations de régime de production d’électricité « fossile » augmentent la consommation de carburant (comme une voiture qui change de régime en permanence consomme plus qu’une voiture à vitesse constante sur autoroute) ce qui annule l’avantage hypothétique de l’éolien.

En tout cas, rares sont les pays à avoir réellement réduit leur empreinte fossile grâce à l’éolien, les « champions » Européens en matière d’éolien (Allemagne et Danemark) sont aussi les plus forts émetteurs de CO² (L'intensité carbone de l'électricité européenne à la loupe).  La France, et son énergie nucléaire, produit 4 fois moins de CO² que l’Allemagne par MWh produit (et  pour deux fois moins cher) (Le KWh est deux fois plus cher en Allemagne qu'en France).

Emballement médiatique

Et tout cet emballement se fait sans que les médias affichent le moindre esprit critique, et reproduisent fidèlement des communiqués d'ONG alarmistes pourtant connues pour jouer fréquemment avec les limites de la réalité :  

Quelques exemples : La pollution atmosphérique tue chaque année 7 Millions de personne dans le mode. L’info est vraie dans l’absolu, mais plus de 95% de ces décès arrivent dans les pays en voie de développement, causés non pas par l’automobile mais par l’usage de bois et de charbon pour se chauffer et cuisiner (New map provides global view of health-sapping air pollution). On entretient ainsi la confusion entre pollution globale, et les rares nuisances causées par la voiture dans nos rues européennes.

L’histoire est similaire avec le plastique dans les océans, dont 95% provient de 10 fleuves situés dans des pays en voie de développement (Une étude scientifique montre que 10 fleuves sont responsables de 90% de la pollution plastique des océans). La pollution marine aux plastiques provenant d’Europe et des USA est quasi inexistante, car nos pays développés disposent d’infrastructures de collecte des ordures et de filtrage des eaux usées. Interdire les pailles et les sacs plastiques en Belgique ne changera rien à la pollution du pacifique sud.

 Et c’est la même chose avec les mythes médiatiques répétés et aggravés chaque année par les habitués : Une ONG alarmiste (Global Footprint Network) bidouille des statistiques fantaisistes indiquant qu’on a consommé toutes les ressources de la planète en Août ? Le WWF indique que "60% des espèces ont disparu", ou Oxfam que "Les 26 personnes les plus riches possèdent plus que la moitié de l'humanité" ? Ou encore Greenpeace qui indique que les cuves des réacteurs nucléaires belges et français sont "fissurées"? Etc etc. 

Tous ces communiqués caricaturaux et biaisés sont recopiés sans nuance et sans esprit critique, sans droit de réponse et quand des démentis argumentés apparaissent, ils sont rarement publiés. Cela soumet à la population à une véritable tornade d'informations alarmistes, exagérées, déformées voire carrément mensongères.

La désinformation systématique vient même parfois des médias eux-mêmes, avec par exemple le « Cash Investigation » d’Elise Lucet sur le glyphosate, largement décriée dans le monde scientifique et dont les nombreuses corrections d’institutions scientifiques n’ont quasiment reçu aucun écho dans les médias.

Mais encore une fois, il faut alarmer, et désigner le responsable : L’Homme occidental, accusé de « détruire la planète ».

L’histoire se répète

Ce type d'emballement médiatique n'est pourtant pas le premier dans l’histoire récente.

Dans les années 60-70, un catastrophisme pseudo-scientifique politiquement motivé avait déjà de forts échos dans les médias. On craignait alors un « refroidissement climatique » (le cycle climatique était plutôt descendant entre 1940 et 1975)

Le "club de Rome" (groupement d’académiques et activistes de gauche fondé en 1966) prévoyait famines, conflits, démographie hors contrôle, pollution énorme, fin du pétrole, etc... et louait le modèle soviétique.

Paul Ehrlich a publié son "Population bomb" en 1968, qui prévoyait également famines et guerres, car il observait que la croissance de la population était supérieure à la croissance des rendements agricoles. Ce récit alarmiste fut à l'origine de nombreuses mesures liberticides qui font encore frissonner aujourd’hui : Politique de l’enfant unique en Chine aboutissant aux meurtres des bébé filles, stérilisations forcées en Inde dans les années 60 et 70 et dont certaines pratiques survivent encore aujourd’hui.

Pourtant, aucune de ces catastrophes ne sont arrivées. L’innovation a permis d’augmenter les rendements agricoles, faire baisser la pollution, et de continuer à croître tout en réduisant notre impact sur l’environnement.

En parallèle, l’humanité n’a jamais été aussi prospère et heureuse. La grande pauvreté a diminué de moitié depuis 1990, ainsi que l’illettrisme. La mortalité infantile s’est fortement réduite. Les famines ont quasiment disparu et l’approvisionnement en eau potable s’est largement amélioré (Ces 9 infographies montrent que la vie s'ameliore pour des milliards de personnes). La croissance démographique ralentit également, car une population en bonne santé, éduquée et prospère fait naturellement moins d’enfants.

Malgré cela, l’emballement médiatique et populaire cloue au pilori les rares contradicteurs osant encore s’exprimer, taxés de « climatosceptiques », d’être supporter de Trump ou de toucher de l’argent de Monsanto, Total ou McDonalds (pour ne citer que les attaques « ad hominem » les plus fréquentes). La discussion sur le fond étant devenue impossible.

La corruption n’est pourtant pas toujours là où on croit : Il y a quelques semaines, le principal conseiller climat du gouvernement anglais, John Selwyn Gummer, faisait l’objet d’un scandale dans son pays, après la révélation qu’il ait touché plus de 600.000 £ d’organisations écologistes pour « orienter » les choix du gouvernement. De nombreux activistes ont infiltré des agences gouvernementales, comme Charles Jameson, le responsable de la classification « 2A » du glyphosate à l’IARC (en ignorant une bonne partie des études scientifiques), et parti ensuite monnayer son témoignage au « procès Monsanto » (Glyphosate: WHO cancer agency edited out "non-carcinogenic" findings).

Une nouvelle offensive sur le pouvoir d’achat

Début février, des activistes écologistes (présentés par la presse comme des « universitaires », ce qu’ils sont aussi mais c’est bien l’activiste qui s’exprime) ont présenté en Belgique une « loi climat » qui est quasiment un copier-coller des ambitions alarmistes des partis écologistes, avec en objectif une « réduction de 95% » des émissions de CO² (d’origine humaine, j’imagine soit seulement 4%), ce qui revient à éliminer tout moyen de transport, de production d’électricité (la « loi climat » exclut spécifiquement le recours au nucléaire), le chauffage (même au bois) ou bien sur l’industrie, pour atteindre la « décroissance » et plonger des centaines de milliers de personnes dans la misère.

Qu’est-ce qu’une « justice climatique et fiscale » quand les actions proposées sont de taxer l’énergie, l’industrie, l’alimentation et les transports, qui vont largement peser au final sur le budget des plus faibles (20% des ménages belges admettent n’être déjà plus capable de nouer les deux bouts) ?

Est-ce que cela vaut bien de manifester chaque jeudi pour "plus d'ambitions climatiques" qui n’auront aucun effet positif quand l'enseignement belge francophone dégringole chaque année dans les Etudes PISA, l’endettement du pays dépasse les 100%, le taux de chomage reste perché aux alentours des 10% (et bien plus chez les jeunes), et la compétitivité des entreprises belges reste problématique. Ces défis pèseront bien plus sur l’avenir des générations futures, et sont le fait de mauvais choix politiques. Ces choix peuvent donc être corrigés par le politique dont ce sont les attributions, contrairement au contrôle de phénomènes naturels.

Exiger un enseignement de qualité, une industrie innovante et solide pour leur fournir de l'emploi, des moyens de transports performants, une gestion saine et rationnelle de l’argent public, des services publics efficaces et des soins de santé excellents, ne sont-ils pas là les objectifs pour lesquels les jeunes devraient défiler dans les rues ?

Il est en tout cas plus qu’urgent d’avoir un débat ouvert et contradictoire, basé sur des faits, avant que ce courant de pensée unique nous emporte irrémédiablement vers un nouvel obscurantisme.

Benjamin Damien
Scientifique et Entrepreneur

 

Résumé des sources citées dans l'article :

1) Quelques remarques sur Greta Thunberg et extinction rebellion, par Nicolas Casaux.

2) La primauté du politique sur le scientifique. Belgotopia, 22 janvier 2019.

3) 97% Consequential Misperceptions: Ethics of Consensus on Global Warming. Michelle Stirling, SSRN, 19 décembre 2016.

4) Climate Science Survey, Questions and Responses, Bart Strengers, Bart Verheggen and Kees Vringer (2015). PBL Netherlands Environmental Assessment Agency.

5) Climate of Fear: Global Warming Alarmists Intimidate Dissenting Scientists into Silence. By Prof. Richard Lindzen. Global Research, December 15, 2018.

6) Un peu de chimie-physique pour comprendre l'influence du CO², Arguments — Revue européenne de science, vol. 3, n°1, hiver 2018.

7) Quantifying the effect of urbanization on U.S. Historical Climatology Network temperature records. Journal of Geophysical Research: Atmospheres, vol. 118, pp. 481-494, 2013

8) Audit of the HadCRUT4 Global Temperature Dataset. Robert Boyle Publishing, octobre 2018

9) Overestimated global warming over the past 20 years. Nature Climate Change, volume 3, pages 767–769, 28 août 2013.

10) The application of machine learning for evaluating anthropogenic versus natural climate change, GeoResJ, Volume 14, Pages 36-46, août 2017.

11) Emission budgets and pathways consistent with limiting warming to 1.5 °C. Nature Geoscience volume 10, pages 741–747 (2017).

12) Paris climate promises will reduce temperatures by just 0.05°C in 2100. Bjorn Lomborg.

13) Quand les éoliennes augmentent les émissions de CO². Economie Matin, par Jeau-Pierre RIOU 26/01/2017.

14) L'intensité carbone de l'électricité européenne à la loupe. BatiActu, 3 janvier 2017.

15) Le kwh est deux fois plus cher en Allemagne qu'en France. Institut de recherches économiques et fiscales (IREF), par Nicolas Lecaussin & Jean-Baptiste Boone, le 20 novembre 2017.

16) New map provides global view of health-sapping air pollution. Phys.org, By Adam Voiland, JPL/NASA, 23 septembre 2010.

17) Une étude scientifique montre que 10 fleuves sont responsables de 90% de la pollution plastique des océans. MediaTerre, 7 novembre 2017.

18) Ces 9 infographies montrent que la vie sameliore pour des milliards de personnes. Science Post, par Brice Louvet, rédacteur scientifique, 10 août 2018.

19) Glyphosate: WHO cancer agency edited out "non-carcinogenic" findings. Reuters, 19 octobre 2017.
 

 

 

 

 
 
 

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